Ô toi, dont les soins prévoyants,
Dans les sentiers de cette vie
Dirigent mes pas nonchalants,
Ma mère, à toi je me confie.
Des écueils d'un monde trompeur
Ecarte ma faible nacelle.
Je veux devoir tout mon bonheur
A la tendresse maternelle. (Bis)
Alfred de Musset
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